A l'aube d'un nouveau jour (PNJ)

A l'aube d'un nouveau jourFin de matinée
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Quand tu t’es levé ce matin, Nao, tu étais… dévastée. Perdue et paniquée à la fois, après cette nuit où tu as cru mourir mille fois puis les jours d’angoisses qui ont suivis, tu sors de chez toi en affichant pour la première fois depuis longtemps quelque chose de sombre. Tu as pleuré, tes yeux sont rougis et gonflés. Tu as le teint pâle d’une gamine maladive et tes mains tremblent quand tu te bats pendant cinq minutes sur les clés de ton appartement. Quel enfer, voilà ce que tu penses.

Les dégâts dans la rue sont… remarquablement paniquant. Tu n’as pas besoin de marcher mille ans pour t’en rendre compte et prendre l’ampleur de ce que les infos ont craché pendant les derniers jours, ce matin encore. Tu n’as pas dormi. Chaque instant, tu t’es attendu à ce que ce tremblement de terre vienne te finir, puis que le raz de marée arrive. Cachée sous une table, tu t’es retrouvées à prier très fort, espérant que cela cesse.

Ce matin, tu es épuisée oui, mais il y a autre chose. C’est comme si tu étais sous l’emprise de drogues ou d’une transe, tu te sens complètement détaché de toi et de ta personne. Tu observes les choses sans en comprendre la gravité. En toi, Nao, il n’y a plus que la peur et ce besoin, inarrêtable, de comprendre. Tu ne sais pas pourquoi tu traverses la ville, avec cette unique idée en tête : trouver des réponses. Et à ce but, tu associes deux visages. Les deux seuls qui t’ont semblés hors du temps et de l’espace. Surtout celui d’une blonde aux yeux ravagés de chagrin, qui a tiré ton angoisse et ton envie de la voir, encore et encore.

Alors oui, aujourd’hui, après une telle nuit, tu as décidé d’arrêter d’attendre et de te cacher. Tu ne sais pas si tu obtiendras ce que tu veux, mais tu n’as plus rien à perdre. Oui, voilà en fait, tu es complètement au-dessus de tout cela. Tu te sens comme un mort en sursit et un vivant ayant survécu au désastre, un milieu que tu ne comprends pas, mais que tu vis sans un tressaillement.

C’est devant la résidence où Nori t’a déposé la dernière que tu reviens à toi. Pendant quelques instants, tu regardes les bâtiments en te demandant si Danaé peut te voir, si Nori te surveille. Tu ne te dis pas qu’une autre âme pourrait simplement te tomber dessus. Tu n’es plus claire dans tes pensées, Naolane et tu ne sais pas si c’est la fatigue ou quelque chose au fond de toi.

« Allez Nao, bouge-toi, les choses ne se feront pas elle-même. »

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Ce n'est pas courant pour Nori de se faire messager, mais pour Danaé, il ferait sans doute n'importe quoi. Et ce n'est pas le seul. Ces derniers jours, ces dernières heures, Sirius s'est montré plus insistant, plus protecteur, plus présent. Aux yeux de Nori, fatigué et dépassé, ce n'est sans doute pas plus mal, lui aimerait se reposer un peu sur son étoile, sur la seule étoile que le couple a sous la main, finalement. Aussi, alors qu'il s'apprêtait à partir chercher Cyllène - dont l'absence commençait à sérieusement l'alerter - il était tombé sur la silhouette familière de Naolane. Nori et Sirius savaient sans mal qu'il s'agissait d'une des nouvelles liées de Danaé, et ça ne leur semblait pas illogique, au contraire, c'était d'une logique absolument implaquable. Sirius s'approcha et, alors qu'elle lui faisait encore dos, glissa doucement sa main sur l'épaule de la jeune femme.

* Naolane ? Tu venais voir Danaé ?

Malgré son statut de lié, le mot d'ordre à présent était la méfiance, et même si la jeune femme était entré dans leurs bonnes grâces, Sirius montrait bien plus les crocs que Nori. Il était hors de question que qui que ce soit blesse Danaé, d'une façon ou d'une autre.Neutre 93%
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Ta voix s’élève puis s’efface. C’est horrible, tu vois, parce qu’il semblerait même que tu ne réussisses plus à te faire vraiment réagir. Pourtant, ma fille, tu pourrais essayer ce truc, que tu as découvert en toi. Cette capacité à étouffer l’angoisse et les affects négatifs qui sont en train de se répandre dans ta personne. Tu pourrais, mais déjà tu ne sais pas comment ça marche, d’une part, et la seconde c’est que tu as bien compris que ça ne durait pas. Ensuite… Ensuite c’est pire.

Du coup, oui, tu es immobile alors que le silence revient t’entouré et que tu regardes les bâtiments avec l’espoir, complètement enfantin, que celle que tu attends si fort aparaisse à une fenêtre, comme une balise dans la nuit. Danaé est-elle en train de devenir ton phare dans les ténèbres de ta perdition ? Peut-être… Enfin…

« AHHHHHH ! Le cri t’échappe en sentant la main venir se poser sur ton épaule. Tu sursautes, te retournes, mains levées comme si tu allais te battre avant de comprendre. Le rouge arrive au galop d’un cheval… les larmes aussi. Mince… Monsieur Noriiiii… »

Des grosses larmes de crocdiles se forment aux coins de tes yeux, alors que tu comprends que c’est bien l’homme que tu cherchais en partie. Tu sais aussi qu’il a dû veillé sur Danaé, et que tu vas pouvoir t’assurer qu’elle va bien à travers lui. Tu te doutes qu’il a sûrement des tonnes de choses à faire, parce que c’est un Monsieur, ça se voit. Pourtant, petite fille, tu fais un pas en avant et tu viens tomber contre lui, en pleurant comme un gros bébé.

« J’ai eu si peur… Je croyais que je n’arriverai pas à vous trouver, vous ou Melle Danaé. Je suis tellement désolée, c’est ridicule. Tu es juste trop jeune, trop fragile, sûrement. Pourtant tu prends sur toi, tu t’écartes un tout petit peu, en essuyant tes yeux qui re-coulent aussi vite. Est-ce que vous allez bien ? Et Melle Danaé ? Je suis si inquiète pour vous.»

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Malgré la méfiance, lorsque Naolane décide de se jeter dans ses bras, il cligne des yeux et machinalement il referme ses bras autour de la frêle jeune femme. Elle lui fait autant penser à Lycaon qu'à Cyllène, et naturellement il ne peut s'empêcher de vouloir la protéger et la rassurer. Sirius apprend, par la force des choses. Il apprend petit à petit, apprend des étreintes de Danaé et des longs discussions avec Karel. Il apprend par mimétisme, brusqué dans la vie d'un adulte au proie au doute constant.

* Nous allons bien.

Il s'accorde avec Nori pour répondre, le cadre lui souffle que c'est mieux ainsi, c'est mieux qu'il se fasse passer pour lui, même temporairement. C'est plus pratique, et il passe moins pour un fou. Ses mains caressent tendrement le dos et les cheveux de la jeune femme avant qu'il pose simplement son menton sur le haut de son crâne, il observe les environs, méfiant.

* Tu ne devrais pas traîner toute seule dehors. Ça peut être dangereux par les temps qui courent.

Sirius n'est pas serein, évidemment. Orion n'est pas loin, et c'est une affaire personnelle.Neutre 95%
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Honnêtement, tu t’en veux instantanément de craquer de la sorte, Naolane. Nori est une personne qui n’a pas à subir les affres de tes émotions, il doit tant avoir à faire. Et toi, petite fille, tu cèdes d’un seul coup aux larmes comme si tu pouvais te le permettre. Alors oui, tu pleures. De fatigue, d’inquiétude, d’incompréhension, et aussi de honte et de gêne. Jusqu’à sentir ses bras contre toi et entendre sa réponse.

« Je suis désolée, j’ai si peur. Je… Je me doute que vous veilliez sur Melle Danaé mais… pourquoi je ne peux pas m’empêcher d’être si inquiète ? »

Pourtant, Nao, tu as l’habitude de subir pour les autres. Tu pleures pour eux, tu rougis pour eux, tu aimes de tout ton corps, ce sont des choses naturelles chez toi. Mais depuis quelque temps, tu as la sensation que tout cela t’échappe. Tu n’es plus libre de t’inquièter pour quelqu’un, c’est juste… gravé dans ta chaire. Et ça te retourne complètement.

« Dangereux ? Tu murmures d’une petite voix en serrant encore un peu l’homme au grand coeur (en tout cas il t’apparait comme ça) contre toi. A cause des tremblements de terre ? Tu as soufflé ça, avant de bouger, reculer, te retirer de son étreinte pour revenir fermer tes bras sur toi, comme si tu risquais de te déliter si tu ne te retenais pas. Qu’est-ce qu’il se passe, Monsieur Nori ? Est-ce que… J’ai de drôles d’émotions en moi, comme si tout cela n'était pas... ce que l'on croit… ? »

Et tu ne devrais pas le dire, parce que ça ne le regarde pas. Sauf que Nao, on oublie que tu as confiance en lui. Une confiance absolue, parce que tu es naïve. Et, en cet instant, tu as l’espoir que le japonais puisse avoir les réponses à tes questions.

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Même s'il reste simplement attentif à la situation, au cas où Sirius se mettrait à débiter tout et n'importe quoi, Nori est forcé de constater que, oui, Naolane est bien une liée de Danaé. Et à l'annonce de ces quelques mots, leurs deux cœurs battant à l'unisson se serrent violemment. De toutes les capacités dont Naolane aurait pu hériter, elle avait pris l'empathie ? Finalement, ça leur semblait logique, il suffisait de voir quel genre de brin de jeune femme elle était.

* Tu sembles être douée d'un don d'empathie.

Il lui annonce, comme ça, gravement, persuadé qu'elle comprendra tous les tenants et aboutissants du problème. Nori est sûrement en train de l'incendier, parce qu'il finit par reculer un peu, ses mains solidement accrochées aux épaules de la jeune femme, il se met à la détailler avec intérêt et inquiétude.

* Tu es une liée de Danaé. Ce qui signifie que désormais vos vies sont entremêlées. Tu tiens son pouvoir d'elle, et en retour tu dois absolument t'assurer qu'il ne lui arrive rien de mal. C'est pour ça que tu t'en fais pour elle.

Il sourit, un sourire qui se veut rassurant mais qui s'avère être un peu autoritaire, sûrement son côté protecteur.

* Je vais te donner son numéro de téléphone et tu pourras la contacter pour en parler avec elle.Neutre 100%
- accepter sans broncher
- poser davantage de questions
- le remercier ou promettre de protéger Danaé
- ne pas le croire / se moquer / paniquer ou fuir100 %

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Tu ne sais pas. Tu ne comprends pas. Tu le regardes avec ces grands yeux pleins de questions, de larmes retenues. Et il te faut entendre des termes que tu ne peux comprendre pour mettre un sens dans les paroles de Nori. Danaé, toi qui lui es liée, cette empathie, ce besoin de la protéger. C’est beaucoup d’un coup et en même temps, petite fille, tu te retrouves à sentir un vide pleins de questions se creuser en toi. Tu regardes l’hommes avec de grands yeux, sans pouvoir cacher le gouffre de ton âme, et pourtant, pas une seule seconde, tu ne remets en questions ses dires. Tu le crois.

« D… D’accord. Sur le coup, Nao, tu es prête à accepter les choses, à prendre ça comme acquis, et surtout à ne pas lui peser plus dessus. Pourtant quelque chose te traverse, et ton regard assombri s’illumine de quelque chose, une curiosité étrange peut-être. Qui êtes-vous, pour savoir tout cela ? Tes sourcils bougent, se relèvent, hésitent à ses froncer. Vous… Vous êtes comme moi ? Vous aussi, vous avez un pouvoir, que Melle Danaé vous a donner ? »

Tu te rends compte de l’irréalisme de la conversation alors que ces mots traversent ta bouche. Les mêmes que Nori, mais avec ta voix, ça te semble impossible. Pendant une seconde tu montes tes doigts devant ta bouche, tu pâlis. Il te faut de longues secondes pour accepter l’innacceptable, et tu reviens enfin planter ton regard clair dans le sien.

« J’ai besoin de comprendre, Monsieur Nori. Vous êtes comme moi ou… comme Danaé ? Tu avales ta salive, et la peur se mêle à la tristesse. Je peux vous faire confiance, dites ? Vous… vous êtes de notre côté ? »

Parce que tu ne veux pas être seule à protéger cette femme. Ca te semble trop difficile pour une si petite fille.

Choix 2: - poser davantage de questions

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Finalement, il vient se pencher un peu au dessus de toi, ses mains sur tes épaules alors que ses cheveux viennent chatouiller ton visage. Nori te donne une impression d'assurance et d'inquiétude, sûrement.

* Je suis comme Danaé. Vous êtes nombreux autour d'elle, Naolane, ça ira. Il faut que tu arrives à trouver les autres, demande à Danaé de t'aider.

Tu demandes si il est de votre côté, et ta question semble le faire tiquer. Il se redresse et t'observe gravement.

* Je suis du côté de Danaé, je lui ai promis qu'il ne lui arriverait rien.

Ça semble compter tout particulièrement, pour Nori.Positif 0%
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Ses réponses parviennent enfin à te calmer. À moins que ce soit le contact de ses mains. Ou son visage si calme. Nori te semble être un chêne indéracinable dans le tumulte de la tempête, et tu te raccroches à cela. Ta main droite se lève et vient se poser sur sa gauche, planté sur ton épaule. Tu soutiens son regard avant d’acquiescer doucement. Tu es toujours inquiète et ton regard reste engorgé de trop de choses, mais tu ne te laisses plus le choix d’être forte.

« Vous êtes… Tu retiens le reste de ta phrase, comme si tu étais consciente que l’on pouvait vous surprendre. D’accord. Je vais le faire. Si c’est ce dont vous avez besoin, Melle Danaé et vous, je le ferai. Tu carres les épaules sous ses mains, tu plantes tes pieds dans le sol. Je vous fait confiance, Monsieur Nori, je… merci de me répondre. »

Tu as l’air un instant de vouloir te taire, d’avoir encore besoin de soutien, mais tu ne t’en laisses pas le droit. Tu préfères simplement inspirer à fond et chasser les dernières traces de doute dans ton regard. Nori est de votre côté, c’est ce que tu en comprends, alors tu choisis de lui offrir la vérité sur toi, pour savoir si tu as bien compris.

« Je peux influencer les émotions négatives en moi. Et… Tu baisses d’un ton, en te penchant vers lui. Je crois que je peux le faire chez les autres aussi. Tes yeux se ferment, un instant, pour trouver du courage. Ça ne vous semble pas complètement impensable, n’est-ce pas ? Tu pressens déjà la réponse. Vous aussi, vous pouvez faire ce genre de choses ? »

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Il ne bouge pas de ses appuis, comme si le contact avec la jeune femme pouvait l'aider à accepter la situation, qu'elle semble finalement accepter relativement facilement. Il l'envie, sûrement.

* Tu sais, Naolane, jusqu'à récemment je t'aurais sûrement pris pour une folle.

Malgré lui, il esquisse un vague sourire gêné, parce qu'il ne cherche pas à la mettre mal à l'aise, juste à lui souligner l'absurde de la situation. Lui, si cartésien, obligé de lui expliquer cette situation sans queue ni tête.

* Je te crois. Et je pense que tu es une jeune femme forte, Danaé te sera reconnaissante d'être près d'elle.

Il pense à son cercle, bien sûr, et par extension il pense en particulier à Karel qui s'est avéré être un soutien sans faille depuis leur rencontre.Positif 5%
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Les réponses de Nori sont toutes aussi réconfortantes les unes que les autres. Toi aussi, tu aurais trouvé ça fou, et peut-être aurais-tu paniqué s’il t’avait dit connaître ça depuis toujorus. Pourtant non, Nori est juste normal. C’est quelqu’un comme toi, qui semble avoir été attiré dans un drôle de monde. Une part de ton âme d’enfant ne peut ignorer que, plus jeune, tu aurais rêvé avoir un super-pouvoir… mais une fois confronté à cela, ce n’est plus si drôle.

« Merci… Nori. Oses-tu lui répondre, avec le coeur et en oubliant la politesse, tant tu fonds pour cet homme. Il n’y a rien d’amoureux là dedans, juste une reconnaissance que, tu le sais déjà, tu n’oublieras jamais. Je vais faire de mon mieux. Et vous aussi, vous pouvez compter sur moi ! »

Tu ne sais pas, Nao, qu’il en a déjà d’autres, des personnes de confiances. Tu es si dévouée au monde entier que tu ne parviens pas encore à voir que Danaé à une place encore plus spécial à tes yeux. Peut-être si tu lui parlais en face, tu ouvrirais les yeux, mais pour l’instant, petite flamme, tu restes encore dans la douceur de l’inconscience.

« Vous pensez que je peux lui envoyer un sms maintenant ? Tu lui tends ton téléphone, pour qu’il t’ajoute le numéro de la jolie actrice. Je peux avoir le vôtre, aussi, au cas où ? Tu rougis, incertaine d’avoir le droit de demander ça. Vous pensez que l’on est nombreux comme ça ? »

Tu l’observes avec tant de questions dans les yeux, encore, Nao, que l’on pourrait croire que tu vas en défaillir. Pourtant, comme une rpeuve de ce que Nori disait, tu tiens bon.

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Il ne répond pas, se contente d'un hochement de tête las en inscrivant le numéro de Danaé, puis le sien dans le portable de la jeune fille. C'est fait rapidement, assez pour laisser supposer qu'il connait les deux sur le bout des doigts.

* Tu peux lui envoyer un message.

Il confirme avant de rendre son téléphone à la jeune femme, il croise les bras sur son torse et le toise un long avant de sourire légèrement, un sourire sincère bien qu'éphémère. Il doute qu'elle soit du genre à vraiment aller enquiquiner Danaé toute la journée. Enfin, si elle le faisait il s'arrangerait sûrement pour bloquer son numéro. Être lié ne justifie pas de dépasser les bornes, selon Nori.

* Elle pourra plus amplement répondre à tes questions que moi.Positif 8%
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Merci

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