mais putain ! (pnj)

les ennuis

FT. ???

Décidément … c'est à croire que t'aime ça, les ennuis. Et franchement, te retrouver dans des situations pareilles, toi, ça te gave. Ça te gave même sévèrement. Tu maudis tout le monde, actuellement, mais ceux que tu détestes plus que les autres, c'est les parents de ce gosse que tu tiens à tes côtés, en regardant un peu partout. Tes poumons sont en feu, parce que t'as traverser au moins quatre quartiers d'affilé, en gardant le gamin au bout de ta main. Tu l'as récupéré de justesse, au beau milieu d'un groupe de petites frappes qui tentaient de lui voler ce qu'il avait sur lui, sauf que, t'as pas voulu te battre, t'es pas encore assez folle pour ça, on va dire.

« Comment ça se fait que t'étais dehors à cette heure-ci, putain ? » Il est plus de neuf heures du soir, sûrement pratiquement dix maintenant, même. Ce gamin, il a quoi ? Douze ans. Ça te fiche le démon, de voir que des parents laissent traîner leur gosse en ville avec tout ce qui se passe en ce moment. Le gosse, pourtant, il ne te réponds pas, ce qu'il fiche dans la rue, c'est probablement pas bien clair alors, tu te contentes de marcher jusqu'à l'adresse qu'il t'indique et puis, là, tu lui lâche la grappe, pour le laisser remonter chez lui. T'espères, au fond, que ses vieux seront assez intelligents pour le rappeler à l'ordre et lui faire un bon sermon des familles, tiens.

C'est comme ça, du coup, que tu te retrouves dehors, à rentrer chez toi, à pieds, dans le noir d'une rue bien trop mal éclairée. T'es pas sereine, ça c'est sûr, Amy, tellement pas que tu te retournes, au moindre bruit, jusqu'à même, au bout d'un temps te mettre à courir, comme ça, d'un coup, parce que t'as un mauvais pressentiment, que tu te dis que les types de tout à l'heure t'ont peut-être remis la main dessus, au final.CDC - SOIR

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Finalement, au détour d'une ruelle étroite, une main attrape Amy pour la couper dans sa course et la tirer dans un coin, à l'écart.

* Mes excuses. L'homme qui l'a arrêtée la serre contre lui, la garde dans les ombres, l'empêche de bouger le temps que la tempête passe. Une bande d'hommes dépassent la ruelle et ne les remarquent pas. Vous étiez suivie.

Il la lâche et lui adresse un sourire presque embarrassé.

* Ce n'était pas très correct de ma part, mais ils allaient vous rattraper. Est-ce que tout va bien ?

Il s'éloigne, lui adresse un regard. Dans son crâne, les aboiements continuent. S'amplifient. Intenables.Neutre 50%
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FT. ???

Tu le sens. C'est pas sorti de nul part, hein, ce que tu ressens, c'est juste l'habitude, en fait. Il se passe toujours des trucs nazes, dans ce quartier, et toi, t'as su apprendre que tu fiche le nez dans les affaires de ce genre de types, et bah, ça finit jamais bien. Tu te doutes qu'ils te cherchent, après tout, t'as quand même balancer un truc à la tête de l'un des leurs avant de détaler avec le gamin qu'ils étaient en train de malmener. T'en as marre de courir, Amy, t'es à bout, même, pourtant, il est bien hors de question que tu fasses ta courageuse, ce serait de la folie …

Tu fonces en avant, donc et puis, ça se passe si vite, tu sens qu'on t'attrapes, tu paniques, t'as pas le temps de laisser échapper un cri, ton souffle se bloque, tu sens qu'on retient et quand tu vois cette petite troupe courir dans la rue, râler parce que « elle est passée où cette garce ? » ; tu comprends, en fait, que t'as pas intérêt de bouger, même si t'es loin d'être à l'aise.

La voix résonne quand la pression est relâchée, et tu recules, tu fais volte face pour te retrouver face à lui, ce type qui s'excuse, semble même embarrassé. Ton cœur bat la chamade, la frayeur et la surprise se dissipent, peu à peu. « Vous m'avez fichu la frousse ! » Tu râles, pour la forme, tu n'oses même pas élever la voix, de peur de les attirer à nouveau. « Merci … j'aurais passé un sale quart d'heure s'ils m'avaient mis la main dessus. » Et puis, tu l'observes, tu le fixes, d'une drôle de manière, comme un animal intrigué par un autre, un peu. « Vous avez pas la dégaine d'un type qui traîne dans ce genre de quartier … vous êtes paumé ou quoi ? »CDC - SOIR

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Il n'attend pas pour reprendre son chemin - s'attendant sûrement à ce qu'elle le suive. Les mains dans les poches, il hoche la tête dans sa direction; c'est une invitation.

* Ah, non, je ne suis pas d'ici, je ne fais que passer. Voulez-vous être raccompagnée ?Neutre 51%
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FT. ???

Il … repart déjà. Comme ça, hein, alors que tu lui causes, il reprend sa marche comme rien n'était arrivé, et toi, ça t'arrache une drôle de grimace, parce que, pendant un instant, tu restes juste plantée là, à l'observer qui s'éloigne. Il ne fait que passer, qu'il dit, et à l'observer là, il a l'air de faire sa balade du soir, ce qui est, on ne va pas se le cacher, un peu bizarre dans ce coin de la ville mais bon … Tu ne vas pas commencer à juger sur les préférences, hein.

Du coup, Amy, tu veux être raccompagnée ? Non, hein ? « Ouais. » Ah. « On sait jamais, ces types pourraient revenir, et j'suis pas vraiment de taille contre ces connards. » En plus, tu habites pile dans la direction qu'il a prise alors, bah tu trottine derrière lui, pour le rattraper et te remettre à sa hauteur et pis, comme t'es petite et bah, tu lèves la tête pour t'adresser à nouveau à cette grande asperge qui n'est finalement pas tellement une asperge mais bon. « C'est quoi votre nom ? Moi c'est Amy. » Tu te retiens d'ajouter le fameux "juste Amy" …
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Il lui adresse un sourire poli - avant de ralentir, juste assez pour marcher à son rythme.

* Amy, très bien. Tu peux m'appeler Hazel.

Il retient un soupir - les maux de tête reprennent. Les aboiements. Assourdissants, assourdissants.

* Hm, donc. Où allons-nous ?Neutre 52%
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FT. ???

Bon, Amy. On sait bien que tu n'as jamais eu besoin d'un type pour rentrer chez toi. Ces types sont passés, maintenant que tu sais qu'ils étaient bel et bien à ta recherche, tu aurais tout simplement tout fait pour les esquiver, quitte à rallonger le chemin, faire des détours. T'es douée pour ça. Néanmoins, il y a un truc avec cet homme. Un truc, c'est tout, c'est comme ça que tu le définirais, si on te demandait de poser des mots dessus. Un truc indéfinissable, au final. T'as l'impression de le connaître, et pourtant, t'as beau lui lancer des petits coup d'œil en coin, tu sais que tu ne l'as jamais vu, physiquement. « Hazel. Okay. Ça me va. » Inconnu au bataillon, ça aussi. « Par là. » Tu désignes, vaguement, une rue dans laquelle vous devez avancer pour rejoindre ton adresse dans les CDC. « Dites voir, on se connait ? » Peut-être un client de tatie … t'en sais rien. « J'ai l'impression de vous connaître mais j'vous remet que dalle. »
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* Nous sommes liés. C'est ma faute, pour votre pouvoir. Cet évanouissement que vous avez subi, cette crise de colère. C'est l'étoile qui est en moi qui a causé ça. Il déclare comme on récite une liste de courses.

Il baisse les yeux vers elle pour lui sourire. Ce n'est pas qu'il est désolé, mais c'est une situation embarrassante.

J'espère que vous n'habitez pas tout près, c'est long à expliquer. Et en même temps, simple comme bonjour. Elle sera obligée de le croire. Il a été obligé de le croire.Neutre 53%
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FT. ???

Tu sais quoi ? Tu t'attendais presque à ce que vous passiez le reste du trajet à essayer de trouver, comme tu le connais, ou, pourquoi t'as l'impression de le connaître. Vous seriez arrivés chez toi, pour finalement que tu lui dises que tu t'es probablement trompée et puis, voilà. C'aurait été terminé. Mais lui, il t'annonce que c'est normal, que tu le connais, d'une certaine manière parce que, c'est lui le responsable de ta super crise de nerfs de l'autre jour. Enfin lui, non. L'étoile en lui, évidemment, hein, Amy.

Durant un instant, t'es partagée entre l'envie de lui dire que finalement, tu vas te débrouiller, et celle de lui rire au nez. Tu ne fais rien de tout ça. « Mh … donc votre étoile là, elle me doit une machine à laver. » Ouais, enfin, elle était morte bien avant que tu la balances par la fenêtre, ta machine à laver à la con. « Vous avez le temps, je vous écoute … au pire, j'ai du café, à l'appartement, par contre, il est sacrément dégueulasse. » Premier prix à la supérette, tu le bois pas de toute manière, t'aime que l'odeur. « Donc vous avez une étoile en vous, et elle m'a donné le pouvoir de m'énerver encore plus que d'habitude. J'ai tout suivi jusque là ? »
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La remarque a le mérite de le faire rire. Un rire sincère, vrai, chaleureux - jusqu'à preuve du contraire.

* Je vous la rembourserai. Un café ne serait pas de refus, mais je ne pourrais pas rester longtemps. L'heure tourne. C'est ça, oui. Vous n'êtes pas seule dans ce cas, à être liée à moi - mais je n'ai pas encore eu l'occasion de rencontrer les autres. Un silence. Vous... ça ne vous est arrivé qu'une seule fois, d'utiliser cette... capacité ?Neutre 54%
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FT. ???

Tu prends ça sacrément légèrement, c'est vrai. N'importe qui d'autre aurait déjà eu une réaction de panique, de peur, de refus, de déni, mais … toi, tu laisses une place particulière au bizarre, dans ta vie. Tu prends les choses comme elles viennent, et puis, surtout, tu as bien compris, depuis la crise de la dernière fois que t'énerver n'était vraiment, mais alors vraiment pas bon. Mieux vaut donc que tu restes calme, que tu prennes les choses légèrement.

Il accepte un café. Un café dégueulasse, même. C'est probablement que ce qu'il a à te dire est réellement important. Tu l'écoutes, en tout cas, il a toute ton attention. « Je crois oui … à moins que je ne m'en souvienne pas. » C'est possible, ta mémoire est capricieuse c'est un fait, et puis, surtout, tu n'as pas le moindre souvenir, de l'autre fois non plus, tu sais que tu as pété les plombs, parce que tu as retrouvé ta machine à laver en bas de ton immeuble. D'ailleurs… « J'aurais pu tuer quelqu'un. » Tu t'es fais la réflexion, quand tu as passé la tête par la fenêtre et que tu as vu cette machine écrabouillée, en bas, les passants qui passaient autour, en levant la tête. « Je n'ai aucun contrôle dessus. C'était pas tellement le bon plan, avec moi, un truc pareil, au cas où vous vous posiez la question. » A choisir, t'aurais préféré savoir voler avec les pigeons du quartier, hein. Ca aurait évité qu'ils te crottent dessus tous les deux jours … Ou au moins, t'aurais pu les rattraper, ces tricheurs.CDC - SOIR

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* Hm. Je sais. A vrai dire... c'est le principe, je suppose.

Sa main vient trouver son menton alors qu'il observe le ciel sombre au dessus de leur tête. Pourquoi est-ce à lui de faire ces explications ? Procyon lui en doit une. Procyon lui en doit mille, à vrai dire. La laisse est bien serrée autour du cou sauvage. Impossible pour le chien de prendre le contrôle.

* Mademoiselle Amy, je n'irai pas par quatre chemins: votre nouvelle condition vous amènera à tuer d'autres humains dans la même situation que vous.Neutre 55%
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FT. ???

Tu fais part, tout naturellement, en réalité, de tes inquiétudes quant à ce pouvoir qui, on peut le dire, semble avoir été taillé pour toi. Il te colle à la peau, tout simplement parce que ça faisait partie de toi avant même d'exister. Te perdre au profit de la colère et de la rage, c'est habituel, et c'est d'ailleurs quelque chose que tes parents aimeraient faire disparaître, c'est comme ça depuis longtemps, maintenant. Pourtant … la vérité tombe, et étrangement, elle est si peu surprenante. Amy. Pourquoi un tel pouvoir, si dangereux, si destructeur devrait-il exister, s'il n'est pas fait pour détruire et anéantir, justement ?

« Est-ce que je peux vous demander pourquoi ? » Tu t'arrêtes. Au moins, il est franc, au moins, il ne tourne pas autour du pot. Cependant, tu restes toi, toi avec tes qualités, certes, mais aussi tes défauts. Toi, tu n'es pas prête à tuer sans raison, sans doute. « Ils sont dangereux ? Autant que je le suis ? » Et oui. Aussi fou que ça puisse paraître, c'est une raison suffisante, pour toi. Tu veux bien être dangereuse, hein, si c'est pour éliminer d'autres dangers, d'autres menaces. CDC - SOIR

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Un haussement d'épaules. Il s'arrête à son tour, après un pas ou deux, et se retourne vers la jeune femme.

* Si ce n'est pas vous qui frappez en premier, ce seront eux qui vous tueront, Mademoiselle.

Un sourire poli, pour ponctuer l'horreur de ses paroles.Neutre 56%
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FT. ???

Étrange discussion, hein. Si tu t'attendais à ça, en commençant ta journée … cela dit, Amy, tu aurais dû savoir qu'un truc bizarre finirait par arriver, tu aurais dû sentir que quelque chose avait effectivement changé en toi. Tu aurais dû, oui, peut-être, mais le fait est que tu n'es pas toujours très attentive alors, oui, ça t'as échappé.

« Je vois. C'est une bonne raison. » Tuer pour ne pas être tuée. Une question de survie, donc. N'importe qui en ferait autant, à ta place, c'est typiquement humain, et tu n'as même pas besoin de tes cours de psychologie pour le savoir, parce que c'est d'une logique implacable. « D'accord, alors. » Aussi simple que ça, oui. Si on essaie de te tuer, Amy, alors, tu seras celle qui tuera en premier.

« C'est ici. » Tu finis par désigner un immeuble, proche de vous, tu attrapes tes clés dans la poche de ton jean pour ouvrir la grande porte du hall à l'odeur louche en permanence et puis, tu retiens la porte pour qu'il puisse entrer. « J'espère que vous êtes sportif, y'a plusieurs étages à monter. » Pas d'ascenseur, ça fait que loyer est moins cher. CDC - SOIR

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Elle a accepté plus facilement que prévu. C'est... étonnant. C'est un sacré bout d'humain. Mais, à sa place, n'aurait-il pas accepté avec autant de flegme ? Avec autant de détachement ? Impossible de savoir. Il baigne dans cet abysse depuis sa naissance. Il n'a jamais eu le choix d'accepter.

* Pas de soucis. Montons.

Il valait peut-être mieux ne pas parler pendant la montée de ces terribles étages.Neutre 57%
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FT. ???

Comme à chaque fois que tu t'élances dans ces cinq étages d'escaliers, tu y vas à fond, tu fonces, tu donnes tout ce que t'as sans faire de pause, en te disant que plus vite t'es en haut, mieux c'est. La présence d'Hazel ne change rien à tes habitudes … Tu ne dis rien. T'as l'air sacrément déterminée, comme si ta vie en dépendait. C'est presque drôle, à observer, d'un point de vue extérieur, d'ailleurs. « Ouf, putain je les détestent ces 80 marches à la con. » Bien sûr que tu les as comptées, tiens. Tu les montent et tu les descends au moins deux fois par jour, ça te crame tout ce que tu bouffes en calorie, c'est sûr.

Tu viens ouvrir la porte de ton appartement, pile en face des escaliers, tu pousses la porte, tu le laisses entrer avant de le suivre, de claquer la porte, et de balancer tes clés quelque part. Tu les retrouveras bien, de toute façon. « Faites comme chez vous. » Et en attendant, tu fonces à la cuisine pour faire couler deux tasses de café, diffusant dans tout le petit appartement cette odeur forte, amère que tu aimes tant. « Vous disiez qu'il y en avait d'autres, des comme moi … comme moi mais du même côté ? Auxquels votre étoile à distribuer des pouvoirs aussi je suppose ? » Va falloir que t'arrives à tout capter, hein, les gentils, les méchants, tout ça. Tu devrais peut-être prendre des notes. « Je vais les rencontrer ? » C'est que t'as pas pour projet de te faire des potes, toi.CDC - SOIR

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Elle n'a pas l'air de savoir s'arrêter de courir. Elle ne ralentit jamais. Ce n'est pas plus mal, il faut bien - Hazel se contente de monter tranquillement les escaliers, sans la perdre du regard pour autant. Procyon s'agite. Courir, courir, courir avec la jeune fille qu'il apprécie bien. L'entraîner loin du bitume qui fait mal et des lumières qui aveugle et laisser l'instinct de meute. Courir, courir, courir.

Hazel ne laissera pas ça se produire. Il arrive calmement à l'appartement d'Amy et se permet d'entrer, s'apprête à fermer la porte derrière lui quand la jeune fille la claque. Bien, bien.

* Il y en a sept autres comme vous. Je connais leurs noms, je pourrais vous les écrire si vous le souhaitez. Mais je vous déconseille de venir les rencontrer avant que je ne les ai mis au courant de leur... situation.Neutre 58%
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les ennuis

FT. ???

La cafetière fait un bruit infernal, elle couvre un peu le son de ta voix, la rendant plus fluette qu'elle ne l'est réellement. Appuyée contre le vieux buffet de la cuisine, tu l'observes, cet homme qui vient de t'annoncer des choses pour le moins … surprenante. Tu n'arrives pas à penser qu'il ment, même en essayant, ça résonne comme un mensonge sans aucun sens. « Sept … je suppose que ça veut dire que ceux d'en face sont nombreux. » Tu pousses un soupire, tu viens attraper l'une des tasses que tu poses la table basse, tu apportes du sucre, du lait que tu renifles pour savoir s'il ne serait pas périmé, et puis, tu te sers une demi tasse pour toi, que tu gardes entre tes mains, quand tu viens t'asseoir sur le vieux canapé qui grince. « Je compte pas aller à leur rencontre. » T'en as pour ainsi dire rien à secouer, en fait. Cependant, tu viens quand même choper un petit carnet, celui avec une licorne rose dessus - il était en solde ça va hein - et un stylo que tu glisses dans sa direction. « Notez, on sait jamais, au cas où. » Bah ouais, au cas où t'en croises un par hasard, ou que t'en connais déjà un … (lol)CDC - SOIR

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Il saisit le carnet et le stylo, impassible. Il note les noms en silence - il les a appris par coeur. Procyon jappe joyeusement au fond de son crâne, heureux d'un rien.

Voilà pour vous, ajoute-t-il en lui tendant le bloc-notes. Un sourire en voyant son expression. L'un de ces noms vous est familier ?Neutre 59%
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Merci

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