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North | Qui t'aime te fait pleurer... Empty North | Qui t'aime te fait pleurer...

Lun 28 Juin - 1:06
North Ibañez
North IbañezEnviron 24 ansInconnu, fêté le 1er JanvierInconnu, montagnes sud de la ColombieInfirmière + asso’ hispaniquePas l’temps pour ces conneries.Pauvre168 cm#FFFFFFcourte citationAttila - Saber (Fate/Grand Order)
Force décupléePuissance70%Maîtrise80%Endurance20%Qui aurait cru qu'à force de dire que tu étais forte, que tu l'étais au moins autant que les hommes, tu obtiendrais un jour la chance de les surpasser... non de les dépasser ! C'est pourtant le cas. Tu as la capacité de décupler ta force physique de manière exponentielle en puisant dans tes émotions. Parfois, cela se fait naturellement, de colère, de peur, tu peux pulvériser une porte en cognant dedans. D'autres fois, tu te sers de la rage au fond de toi, de ta volonté profonde de protéger ceux qui en ont besoin pour soulever des objets qu'aucun humain ne pourrait décoller. Ça ne dure jamais bien longtemps, parce que si tu es capable de le faire, ton corps n'est pas conçu pour ça. Quelques minutes à peine, 10 maximum en prenant des risques probablement mortels, voilà ce que ton pouvoir t'offre à la fois. Le résultat ? Oui, tu es capable de booster ta force, de soulever, tirer, cogner, repousser de manière surhumaine, mais ça, ce n'est que la partie sympa de l'iceberg. La vérité c'est que tu imposes à ton corps une surchauffe si brutale et inhumaine que tu en ressors presque systématiquement avec des blessures. Du claquage, à l'entorse, tu t'es déjà cassé la main en maintenant une palette pleine de trucs en métal pour tirer quelqu'un de dessous. Il est fort probable que tu pourrais réduire en miette tes terminaisons nerveuses, éclater un organe ou entraîner ta propre mort si tu utilisais 100% de cette capacité. Le problème ? Tu es curieuse, tu n'as pas peur. C'est un don du ciel, alors tu en uses sans hésiter.Tu t'en souviens comme si c'était hier. Tu venais de finir ton service aux urgences de l'hôpital de Polaris quand tu avais fait un détour, comme souvent, pour prendre des nouvelles d'une gamine qui était passée entre tes mains, un jour alors qu'elle s'était blessée en se promenant dans le parc. D'elle, tu ne connaissais rien du tout, mais tu en étais tombée sous le charme, sans vraiment savoir et tu t'étais mise à veiller de loin. Une jeune femme déjà à l'hôpital, tu ne savais pas pourquoi. Juste qu'elle était là, qu'elle semblait malade. Et puis ce jour-là, alors que tu étais entrée dans la chambre de la blonde, à l'heure à laquelle elle dormait déjà, normalement, tu t'étais figée. Un rayon de lune tombait, à travers la fenêtre, sur son visage pâle, donnant une aura mystique à sa chevelure blonde. Ton coeur s'était serré comme le jour de ta rencontre avec South, et tu avais senti le sang traverser tout ton corps. L'émotion avait été si forte, que tu avais serré la poignée de porte de toutes tes forces pour te reprendre. Si fort qu'elle s'était brisée nette. De peur de réveiller la dormeuse, tu avais pris la fuite aussi sec en ayant pris une grande résolution : tu veillerais sur elle en apprenant à la connaître, dès que le soleil se lèverait.Douce. Tu ne l’es pas. Tu n’as jamais eu cette chose que beaucoup de femmes portent en elle, de mère. Tu es plutôt une personne impulsive. Tout ce que tu fais, tu le fais comme si la mort était toujours à deux secondes de toi. Tu es brutale, violente s’il le faut. Souple et silencieuse si tu le dois. Tu ne croques pas la vie, non, tu l’arraches, tu la déchiquètes avec tes crocs, comme un jaguar des jungles colombiennes. Il n’y a qu’un moment où tu calmes, où tu te montres rassurante et contrôlée, c’est quand tu enfiles cette blouse blanche des personnels soignants, parce que tu n’es plus face à des monstres, mais à des blessés. Des gens qui ont besoin de toi, autant que tu as besoin d’eux.

Romantique. Tu ne l’es pas. On pourrait en rire, tu vois, mais t’as juste jamais eu le temps de développer cet aspect de toi. Quand on vit et meurt tous les jours, les sentiments sont un poids dont on ne s’encombre pas. Toi, t’es juste pas éveillée là-dessus. T’as jamais aimé, t’as jamais ressenti ce que les autres racontent dans les films à l’eau de rose. Le plus triste, c’est qu’il y a eu des regards sur toi, qui trahissaient l’amour. Celui de South, qui ne se détournait jamais de ta personne. La protection d’Angel, que tu n’as jamais compris. Mais tu es juste une aveugle. Si t’es douée pour quelque chose, c’est passer à côté et piétiner les sentiments des autres sans même t’en rendre compte.

Femme. Tu ne l’es pas. Tu ne l’as peut-être jamais été. Tu es une belle jeune femme, pourtant, ton corps ne peut pas trahir cette vérité. Tu es une femme, née femme, mais tu ne l’as jamais été. D’où tu viens, les femmes étaient violées et tourmentée. Toi, tu as survécu et pour ce faire, tu es devenu le plus couillu des hommes du camp. Tant et si bien que les autres ont oublié petit à petit que tu en étais une. On te parlait au masculin, on te respectait comme un type.

Homme. Tu ne l’es pas. Tu ne l’as jamais été, puisque tu n’es pas née dans le bon corps. Tu n’as jamais eu la force des autres hommes du camp, mais tu as su t’élever parmi eux. T’es devenu un animal sauvage pour qu’on ne dévore pas. Tu attaques sans peur. Tu souffres sans cri. Tu crains sans pleurs. Tu es forte, on ne pourra jamais dire le contraire. Courageuse et folle, sûrement, mais forte.

Ombre. Tu ne l’es pas. Quand bien même tu vivais dans l’obscurité de la jungle, tu n’as jamais été sombre, ni inquiétante. En faite, tu étais une battante, une leadeuse sans le vouloir. Mais pour South, ou avec lui, tu étais un soleil, un ange. Le sourire le plus adorable du camp, qu’il disait. Le visage le plus vivant des combattants. La fleur la plus merveilleuse sur le champ de bataille. Il disait que lorsqu’on te rencontre, on ne t’oublie plus jamais, avec tes yeux mordorés et tout rire bruyant.

Lumière. Tu ne l’es pas. Quand on regarde au fond de tes yeux, ce sont les ténèbres des horreurs que tu as faite que l’on voit. Il y a une pile de corps dans tes iris, qui te hantent parfois. Le pire, c’est que tu ne te souviens plus des visages. Les morts, tes morts, sont devenus des cadavres sans nom et sans visage, comme de vielles marionnettes. Tu as commis et vu bien trop d’atrocité pour en ressortir intacte, mais tu ne le montres à personne.

Lit et écris comme un enfant de 6 ans Véritable guerrière, même encore maintenant Douce & protectrice avec les femmes et les enfants Brutale avec les hommes A dû changer d’identité Ne sait pas nager (l’eau la terrorise) Sommeil agité et cauchemar fréquents Plus chaud que froid Gender fluid Menteuse quand il s’agit de son passé  Attaque quand elle a peur Ne sait pas pleurer Ne relâche jamais la pression Dans l’attente de qqch qu’elle désire comme craint.
Tu venais d’entrer dans la cage qui serait ta maison pour les trois prochains mois, juste que tu ne le savais pas encore. Les autres enfants pleuraient, suppliaient, appelaient leur maman. Toi, ma petite, tu t’étais assise sans un bruit dans un coin de la cage, le plus loin des autres, avec un choc si violent inscrit sur ton visage où un hématome commençait déjà à se former, qu’il n’était pas difficile que tu n’étais plus vraiment là. Sidérée, absente, pour contrôler tes émotions. Si petite est déjà si forte.
South, qui ne s’appelait pas encore comme ça à l’époque, était entré après toi. Il avait regardé les enfants, et sans que tu ne saches pourquoi, il s’était assis près de toi. Lui une douzaine d’années, toi probablement 6 ou 7 ans. Il avait levé le bras en voyant que tu frissonnais de froid, t’avais laissé partagé sa chaleur, sans un mot. Une nuit dans le froid et les bruits sans fin de la jungle. Une nuit sans parler, alors que les enfants tombaient d’épuisement. Quand les hommes du camp avaient cessé de fêter le rapt de sang frais et étaient aller dormir aussi, South avait posé ses yeux outremer sur toi, et il avait enfin parlé, dans un murmure :
« Demain, ils demanderont qui est assez fort pour se battre. Peut-être qu’ils diront que ceux qui ont trop peur peuvent partir. N’écoutes pas leur promesse, lève-toi, prend une arme et tire sur la cible. Tu vivras et je te protégerai. »
Pourquoi t’avait-il choisi ? Il ne t’a jamais donné l’explication même après, quand vous êtes devenus si proches, même quand tu as fini par dormir dans son lit toutes les nuits, que l’on vous envoyait en éclaireur ensemble, tant vous étiez buté à sauver la vie de l’autre que vous reveniez gagnants à chaque fois.

Aucune réponse et ça te hante, North. S’il ne t’avais pas choisi, ce soiR du 1er jour de l’année 2000 ou 2002, serait-il encore avec toi aujourd’hui ? Encore vivant tout du moins ?
Impétueuse
« NAN ! NAAAN L CHE-MOI ! IL FAUT ALLER… IL FAUT LE CHERCHE ! L CHE-MOI ! L CHE-MOI OU J’TE BUTE ! »

Dans les bras de l’homme que tu connais depuis toujours, tu rues comme un cheval fou. Il essaie de te retenir, alors que des accrocs dans la route de jungle vous fait bondir et rebondir sur le plateau de la vieille camionnette pendant que vous essayez de quitter le front. Tu finis par lui coller un violent coup de coude dans la tête, et avec un hurlement animal, tu sautes de la voiture en marche. Tu boules et roules, avant de te relever et courir sans réfléchir chez le front. On entend encore les tirs en rafales des armes à feu, les arbres qui tombent, des choses qui hurlent. Pourtant, t’entends rien, toi, tu fonces jusqu’à te jeter au bord de la crevasse où il a disparu alors que vous preniez la fuite en courant.

« PUTAIN ! NAN, ARRÊTE, IL EST PAS LA ! IL EST PAS DANS LE TROU ! L CHE-MOI SALE GROS… »

Ta voix s’éteint quand un des soldats abat son arme contre ta tempe. L’homme qui a sauté de la camionnette pour t’arrêter te passe aux bras des autres, qui n’ont d’autres choses que d’obéir. Il allume une torche dans la nuit presque tombée et là où la brune délirante n’a rien vu, il se penche dans la crevasse. Ses yeux se ferment, son visage se marque de douleur, et il rebrousse chemin. C’est fini, maintenant.

∞ ∞ ∞

« J’partirai pas sans South ! Que tu claques, les yeux rouges et la voix cassée à force de hurler et pleurer. Tu es enfin calme, c’est pour ça qu’il essaie de te parler.
-Je t’ai dit que South a pu prendre la fuite.
-Comment il aurait fait, Angel ?! Ca n’a pas de sens !
-Tu dis que je mens ? Grogne l’homme en face de toi, en claquant ses mains sur le bureau. Je suis celui qui espionne les autres, si quelqu’un peut savoir quelque chose sur South, c’est moi !»

Tu t’écrases, parce qu’Angel a raison. Tu n’as jamais vraiment su si tu pourrais lui faire confiance, mais South et toi, vous avez toujours pu compter sur lui. C’est Angel qui t’a protégé quand les autres voulaient te violer, te dévorer jusqu’à la moelle. C’est lui qui a poussé pour que South et toi soyez en binôme. Lui qui vous a toujours donné les bonnes pistes.

« Il est où ?
-J’en sais rien, mais hors du pays, probablement du continent. Les choses vont devenir ingérable ici, si les FARC signent le traité de paix, il le savait. Tu le sais, toi aussi. Il faut que tu quittes le pays.
-Pour aller où ?
-J’ai un cousin, loin, dans le pacifique… Dès que j’ai trouvé South, je te rejoindrai avec lui.
-D… D’accord. »

∞ ∞ ∞

Tu soupires en regardant le formulaire, avant de le tendre à Angel. L’homme qui attend dans une pièce attenante n’a pas l’air très patient et tu ne sais pas comment le faire toi-même. Ton gardien, ton supérieur, ce qui ressemble le plus à une figure familiale attrape le papier et un style.

« Allons y. Ton prénom.
-North.
-Non, ton vrai prénom. Tu ne vas pas garder cette identité stupide...
-North.
-Je… Il s’arrête, en voyant ton regard éteint et il comprend. Tu n’as pas la réponse. Tu ne te souviens pas de ton nom de famille, non plus ? Tu hoches la tête. Ibañez, c’est courrant, c’est le nom de jeune fille de ma mère. Tu ne dis toujours rien. Ta date de naissance ?
-Je sais pas. T’as qu’à mettre 1er Janvier, c’est ce qu’on fêtait avec South.
-T’as quel âge ? 18, 19 ans ? Pas de réponse, elle ne sait pas non plus. Lui calcule, puisqu’il la connait depuis le début et il finit par choisir 19. »

∞ ∞ ∞

« Vous êtes seule ? Demande la jeune femme des services sociaux de Polaris.
-Oui. T’as pas suivi les ordres d’Angel. À l’aéroport, son oncle devait te récupérer, mais tu t’es enfuie. Cheveux décolorés, raccourcis aux épaules, t’as volé une paire de lunette pour cacher tes iris mordorés.
-Bien. Comme vous voyez, ce n’est pas bien grand, il y aura quelques travaux à prévoir mais…
-Je prends ! »

Tu n’as pas mieux, de toute façon, et tout vaut mieux que dormir dehors en pleine ville. Tu es paniquée, chaque bruit de pot d’échappement est une mitraillette, chaque enfant qui cri en jouant est un mort en sursit. Tu crains tout et pourtant tu dois faire avec, tu ne peux pas retourner en Colombie.

∞ ∞ ∞

5 ans. Tu n’as jamais eu de nouvelles de South, et tu n’en auras pas, tu le sais maintenant. Peut-être est-il mort, peut-être qu’on ne l’a jamais retrouvé. De toute façon, en sortant du traceur d’Angel, tu sais que tu n’en aurais pas, mais tu n’avais pas le choix. Confiante en personne et détruite comme tu l'étais, il te fallait fuir, même si tu attends avec un drôle de goût, en bouche, qu’il apparaisse devant toi. Envie et crainte. Tu n’as jamais su ce qu’il te voulait, mais jusqu’au bout, il avait ce même regard que South posait sur toi.

« North ? Tu relèves le nez, vers la jolie jeune femme qui attend dans sa chambre d’hôpital. Une gamine, encore, et ton cœur se serre. Comment peut-on faire du mal à une si jolie fleur ?
-Salut beauté ! Que tu lances avec cette énergie qui la fait toujours sourire. Prête pour une nouvelle journée ?
-Je crois… Qu’elle rit à ta fougue.
-On est toujours prêt pour passer entre les mains calleuses et froide de Max voyons ! Peut-être que tu arriveras à le faire sourire, cette fois-ci, j’y crois encore. Tu finis d’ouvrir les volets, fenêtre, et tu vérifie ses constantes ainsi que la perfusion avant de retourner vers la porte. Je reviens dans 2h pour changer tes pansements ! Ne te sauve pas en courant en attendant, belle plante ! »
Les étoiles, ça vous parle ?
C’est pratique les étoiles, quand vous bougiez de nuit, elles vous permettaient de vous guider. Sinon, toi tu as fait du ciel brillant le théâtre de tes distractions mentales. C’était un peu ta télé personnelle en faite. South t’a raconté plein d’histoires en plus.

Croyez-vous au destin ?
Tu n’en sais rien. Tu ne crois en rien de particulier, les choses sont, c’est tout.

Une créature vous guette.
Que faites-vous ?

Si elle t’attaque, tu la tues avant, sans hésiter. Sinon t’observes et tu évites. Sauf les serpents. T’as peur des serpents, eux tu les zigouilles en hurlant comme une démone.

Êtes-vous redevable ?
Oui, mais tu vis ça mal, parce que t’avais jamais voulu l’être.
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Lun 28 Juin - 15:52
Passage du staffCercle et pouvoir
CercleCoucou toi. Je pense que c'est pas une surprise, vu que tu as pris un pré-lien ... Mais évidemment, tu vas rejoindre Maddie !
Je t'envoie très rapidement un mp  North | Qui t'aime te fait pleurer... 282060512


En résumé : Tu es à présent considéré dans le Cercle 4, ton étoile est donc @Madison Celestial.
PouvoirAprès lecture, voici les deux pouvoirs que je te propose. Pour rappel, tu peux pleinement décider de refuser ceux-ci et nous t'en reproposerons un troisième, mais tu devras faire une croix sur ces deux-ci ! Aussi, réfléchis-y calmement avant.

Phepsalokinésie (physique)
Manipulation du sable et du verre, transformation d'un état à un autre. C'est très stylé, mais ça demande aussi vraiment beaucoup d'énergie.

Force décuplée (physique)
C'est un petit brin de femme ... Ouais mon cul.


EDIT : elle est TROP COOL putain. Je voulais le dire, quand même.
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Lun 28 Juin - 16:46
Merci beaucoup North | Qui t'aime te fait pleurer... 151711488 **
Je choisi le second pouvoir parce que ça lui va comme un gant North | Qui t'aime te fait pleurer... 2066302423
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Lun 28 Juin - 18:37
Re-bienvenue dans le coin ! North | Qui t'aime te fait pleurer... 151711488
J'adore le pouvoir, j'ai comme l'impression qu'il lui a été destiné depuis le départ... 👀
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North | Qui t'aime te fait pleurer... Empty Re: North | Qui t'aime te fait pleurer...

Mar 29 Juin - 12:11
J'étais pas passée sur ta fiche. Jpp.
J'ai trop hâte de RP avec elle, ohlala, elle est PARFAITE. North | Qui t'aime te fait pleurer... 271474744
Son pouvoir, jpp.
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Cercle 1

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Mar 29 Juin - 15:58
ValidationBien joué !
BravoPAUVRES SERPENTS ?? Bon, après je veux bien croire que dans la jungle il vaut mieux les zigouiller direct, hem. J'ai vraiment beaucoup aimé lire son histoire ! (Son caractère aussi, évidemment, mais je l'avais déjà lu donc c'est pas pareil). Si jamais, tu n'as pris aucune liberté qui me dérange, au contraire. Et avoir qualifié Maddie de belle plante m'a vraiment fait mourir de rire entre nous. J'adore North, et j'ai hâte de la voir en action, elle mérite tout à fait sa place dans son cercle. Félicitation ! North | Qui t'aime te fait pleurer... 766717132

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