mari   GOLD

Don't call me Marigold Wheeler Don't ask me19 ansNO MEANING 14/04 Somewhere Sinine Island (Astéria)Serveuse, prostituée, apprentie couture. Ah! Oh :( 175 cm#06EF82La révolution ou la mort Ann Takamaki (Persona 5)

Alignement Sincérité10%Optimisme70%Extraversion40%Sang-froid35%jehurletonnom
marevolution laissezmoihurlerTu n’es ni impératrice, ni Reine
Tu es la révolte attaché à tes reins
Tu es la pauvre, le rêve condamné
L’éternelle figure enragée.

Vois-tu la faiblesse de tes membres, les limites de ta constitution ? La soumission que tu t’acharnes à porter comme maquillage ? Tu sais pourtant que l’amour de ton prochain n’est pas la force guidant tes pas, tu sais pourtant que tout cela a bientôt une fin.

Le monde autour de toi se délite dans un carnaval d’absurdité, les monstres reviennent à la vie et les démons alourdissent le dos des bossus. Et toi, tu fais taire cette clameur interne

MARIGOLD MARIGOLD MARIGOLD MARIGOLD

Tu as peur de ta propre haine, tu as peur de ta propre colère, tu ne vois que la vie de merde dans laquelle tu t’enlises pas à pas, les dettes sur ton cou et les gravures des autres sur ton corps. Et quand tu ramasses les morceaux de toi, quand tu te contemples le soir, tu veux casser le miroir. Et ton âme hurle

MARIGOLD MARIGOLD MARIGOLD MARIGOLD

Comment est la liberté ? Comment est le but auquel tu rêves ? Comment peux-tu rêver ? Tu n’as jamais la force d’avoir faim et soif, tu n’as jamais la violence d’arracher à autrui ce qui t’es dû et tu le sais. Trop bonne, trop conne. Pourtant dans la vacuité de ton quotidien, tu entends hurler

MARIGOLD MARIGOLD


Détruis cette vie, Marigold.
Détruis la seule chose tu as à perdre,
tes chaînes.


Le pétrichor embaumait les pavés ce soir là, il n’avait pas plu mais pourtant, le monde suintait de l’humidité des hommes. Tu passais tes mains sur tes genoux ecorchés et tu souriais sans me regarder.

Tes mêches coupés à la folle caressaient tes joues hautes, tes joues de slaves comme tu disais sardoniquement, et ta main tirait sur cette jupe trop étroite pour toi.

Tu parlais, je crois. Mes souvenirs sont flous de cette époque. Tu parlais de la lune des étoiles de la terre et du ciel, toutes ces choses hors de ma portée et par conséquence, hors de mon existence.

Tu m’as dis que je parlais de façon trop précieuse, que mes manies n’étaient pas les bonnes, que je faisais tâche mais qu’on pourrait me donner ce que je désire. Tout ce que je désire, tout ce qu’une femme peut désirer. Je n’ai pas eu le courage de lui demander ce qu’était une femme, ce qu’était un désir. Je voulais juste être libre, je ne voulais pas ce que tu m’as offert. Ta voix était devenue plaintive, tu m'as touché les bras, la joue, les cheveux, tu m'as dorloté, tu m'as menacé, tu m'as rappelé qu'ici, je n'étais rien et j'étais tout pour toi, pour nous. J'ai cédé, comment pouvais je dire non  à ce coeur tremblant dans ma poitrine ? Je te l’ai donné ce que tu voulais en échange de mes désirs, tu as souris, cette fois-çi, quelque chose avait illuminé ton regard, c’était si magnifique que j’ai oublié que seules les mites étaient attirés par la lumière.
Liberté

Table basse
Canapé de cuir bovin
Téléviseur coréen 4K


L’enfant se tenait là, sa chevelure blonde de la même teinte que les photos accrochés au dessus de la cheminée, sur le mur du salon. Le chocolat chaud fumait mais l’enfant ne sentait rien. Les mains serraient la jupe de coton rigide et la mine était fermée, l’enfant boudait. Le nez était remonté, et l’instituteur tapait sa règle rigide contre le papier.

On lui disait de résoudre, Marigold disait d’aller se faire mettre. On lui disait que c’était facile, et les chiffres dansaient dans son esprit d’une ronde moqueuse. Grand-Père soufflait du nez et une soufflante était apposée sur tes joues. Rien de dramatique disait-on, juste de quoi dompter les esprits rebelles. Et Marigold écrivait dans son esprit et dans son âme, la révolution à venir à l’encre rouge de la colère.


Lit simple
Draps de soie
Tapis tissé berbère

Fallait pas en faire un flan, chuchotaient les voix fraternelles. Le téléphone grésillait dans la poche arrière de son jean, des messages s’amassant sous les sourires rayonnants de son fond d’écran. Pourtant, elle était assise sur la parure de lit, l’air était chaud empli des senteurs de la cuisine. et au loin les préparations des célébrations faisaient grésiller les murs d’une joyeuse mélodie. Pourquoi fallait-il qu’elle soit toujours aussi différente ?

Elle s’étouffait sans savoir respirer, elle oubliait de boire, de manger, de vivre quand elle cousait. Dieu que ce n’était pas élégant, chuchotait Grand-Mère. Et tu veux faire quoi plus tard avec tes chiffons ? Sa voix faisait vriller tes pensées raisonnables, Marigold. Rien ne faisait sens là dedans, rien n’avait de goût là dedans.

Et elle pleurait les larmes salées de l’incompréhension, devant ce bulletin lamentable, devant les heures englouties à saigner sur ce bureau dont l’ombre ressemblait à celle d’un bourreau.


Place n 45
Train de 18h
Messages non lu (60)
Appels manqués (Ptain Mari réponds)

La valise sous ses pieds, le contrôleur regarde l’adolescente. Elle tend le ticket, ses yeux sont gonflés d’avoir trop pleuré. Il lui demande pas comment elle va, il connait le mensonge. “ça va, ce ne sont que les allergies”. Il lui souhaite un bon voyage et elle lui sourit à moitié. Le téléphone s’allume un instant, fond d’écran de chats, la liste d’appels manqués s’etire sous les yeux moqueurs et virtuels. Il veut l’arrêter, mais elle se renfonce dans son fauteuil, les écouteurs sur les oreilles.

TERMINUS ASTERIA, VEUILLEZ RECUPERER VOS BAGAGES.
Les étoiles, ça vous parle ?
LAISSEZ MON FRERE TRANQUILLE

Croyez-vous au destin ?
LAISSEZ NOUS TRANQUILLE

Une créature vous guette;
Que faites-vous ?
LAISSEZ MOI TRANQUILLE

Êtes-vous redevable ?
REVOLTE

rebootConnaissance du forum : pls no
Pnj préféré : no
Emote préféré : no
[/color][/color][/i][/i][/i][/i]

NANI ??????????
rebienvenue avec ce personnage fabuleusement inattendu ??
je suis triste pour elle, j'espère qu'elle aura mieux, BEAUCOUP MIEUX

ps. l'aes de ta fiche est parfaite

Elle est parfaite olala Pauvre bichette ! Qu'elle vienne voir sa grande soeur là, tout ira bien !!

cc t bg.

Vero : Oui je sais En vrai Mari a pop dans mon esprit, rent free, et je voulais la faire en t'attendant pour Kaho. Merci de l'aimer, je t'embrasse, courage pour ta vie je t'attends

Charlotte : je viendrai stalk tes bras alors, jtm

Niels : c toi qui es bô