Un labyrinthe de rues et de boulevards. Rien à voir avec les tours luxueuses des Clématis, ni avec les ruines des Chiens de Chasse. Ici, on trouve surtout des familles, des petits cadres et des étudiants, entassés soigneusement dans des petits pavillons tous semblables.

Trente trois lignes de Métro, dix-sept ligne de Tramway et plusieurs centaines de lignes de Bus, le réseau urbain de Polaris n'a rien à envier aux restes des pays du monde. Tout y est fait pour que s'y repérer soit simple et que les prix restent aussi bas que possible.

Constamment noire de monde, de nuit comme de jour. On y trouve toute sorte de magasins et il y fait bon se promener dans les rues pavées pendant les journées ensoleillées. L'avenue commerçante de l'Octant est un très beau coin, ancré dans l'histoire de Polaris. On y trouve aussi de nombreux cafés, restaurants et bars, parfait pour des rendez-vous ou autres sorties en tout genre.

L'hôpital le plus fréquenté de la capitale, divisé en plusieurs grands bâtiments. Ces derniers temps, les décès se font de plus en plus nombreux, sans que l'on ne comprenne vraiment ce qui cause cette recrudescence - d'autant plus visible dans ce lieu où la vie et la mort se côtoient de près. On raconte qu'on pourrait même apercevoir des fantômes dans les couloirs de l'hôpital quand l'horloge sonne trois heures du matin.

Le cimetière le plus dense de la ville était auparavant localisé aux CDC, avant que la ville ne privilégie celui de l'Octant après une sombre affaire de pillage de tombes. Le cimetière de l'Octant est grand et vaste. Il est fort heureusement bien entretenu. Une fois le portail passé, on entend presque plus le monde extérieur. Ici, les morts sont respectés. De nuit, cependant, il se peut qu'il y ait des visites impromptues. Pas besoin d'avoir peur : de toutes façons, les fantômes, ça n'existe pas.

Située au sud de Polaris, les trains qui quittent cette gare rejoignent vite les différents tunnels sous les Astrales. Sceptrum, Antlia ou Fort-Cendres sont les principales grandes villes à être reliées à cette gare, mais toute une tripotée de villes plus petites s'ajoutent à cette liste.

On s'entend il s'agit là du Commissariat Central et Bureau d'Enquête de Polaris mais c'est long et tout le monde s'en fout. Tout ça pour dire que des commissariat y en a plein dans le coin, mais celui-ci centralise les meilleurs agents et enquêteurs de la ville. C'est également souvent ici que poireautent les journalistes, pour gratter une petite information.

Le journal le plus lu et de loin à Asteria, ce journal qui autrefois ne couvrait que les informations locales est devenu la principale source d'information de presse écrite et digitale. Le journal a su se réinventer sans changer sa ligne de conduite et éditoriale, ce qui continue encore aujourd'hui à plaire aux Astériens.

La Radio Nationale d'Astéria ou National Asterian Station (NAS) est la radio la plus écoutée du pays. Ses différents programmes d'information et de divertissement continuent encore aujourd'hui à plaire à son audience. Tout le monde retient ses petits jingles et sa fréquence, le 100.08.

Ce n'est pas le plus grand parc de la ville, ni celui le plus intéressant en terme de décorations, de statues ou de fontaines. Le parc de la couronne boréale est avant tout un parc naturel, où se trouve une flore diversifiée. Il y a aussi un petit zoo avec des animaux de la ferme -ânes, oies, ...- et une volière d'oiseaux de la région. C'est un endroit idéal pour emmener quelqu'un en rendez-vous galant, ou alors pour emmener ses enfants s'amuser. L'endroit est autant prisé des étudiants que des familles.

Le CRUX (anciennement Southern Cross Museum) est le musée de Polaris consacré à l’histoire d’Astéria. Plus ou moins tombé dans l’oubli, il se modernise depuis quelques années sous l’impulsion d’une nouvelle équipe. La collection permanente, qui comprend quelques artefacts culturels des populations natives, propose un parcours relatant la colonisation de l’île par les grandes puissances asiatiques et européennes.

Juste à côté du parc se trouve un énorme aquarium. L'aquarium de Polaris est particulièrement réputé pour sa diversité et son côté ludique. Beaucoup d'espèces y sont représentées et une exposition sur les abysses est en cours depuis quelques semaines, en même temps qu'une campagne de sensibilisation sur la pollution des mers et des océans. Les écoles de la ville font souvent une sortie par ici.

On parle ici bel et bien de la très grande majorité des facs et écoles publiques de la ville, c'est un campus scolaire où on trouve tout le supérieur. C'est presque une mini-ville à l'intérieur de la capitale, où s'alignent les petits commerces et les activités dont les étudiants raffolent. C'est un endroit très agréable où une réelle cohésion semble régner, où beaucoup d'étudiants étrangers ont élu domicile.

Une galerie artistique où de nombreuses expositions vont et viennent au cours de l'année. Les artistes présentés sont souvent invités par un généreux bienfaiteur à exposer ici. En dehors des expositions et vernissage, la galerie est généralement fermée.

Une laverie qui tient sa réputation au nombre étrange de gens qui se sont rencontrés ici, des couples qui se sont formés grâce à une simple rencontre à la laverie. Pourtant, c'est une laverie comme une autre, sans doute la plus grande et la plus fonctionnelle de l'Octant, mais elle n'en reste pas moins une simple laverie, lorsqu'on lui retire sa légende urbaine cocasse.

Les campagnes sportives et en faveur de la santé sont nombreuses à Polaris. Il allait donc de soi qu'un complexe sportif soit construit pour que les habitants de la capitale ait un endroit où brûler toutes ces vilaines calories. La plupart des gens peuvent se permettre de venir faire leur sport ici, les forfaits étant à assez bas prix et des facilités de paiement étant mises en place depuis peu. Le matériel est bien entretenu et de façon assez surprenante, certaines salles de sport sont ouvertes au public 24h/24.

Le bélier trône fièrement sur le logo de ce centre commercial. C'est un endroit tranquille où les familles viennent souvent faire les boutiques. On trouve aussi un magasin de grande distribution au sommet. Pour la plupart des habitants de l'Octant, le bélier n'a rien à envier aux centres commerciaux des Clématis.

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